1.
occupons les fraises sauvages
occupons les langages
occupons le sel
occupons les discours
occupons de manière chaotique et organisée un mur
occupons une discothèque
1.
occupons les fraises sauvages
occupons les langages
occupons le sel
occupons les discours
occupons de manière chaotique et organisée un mur
occupons une discothèque
Montage de photographies de presse dans lesquelles les visages de quatre femmes différentes se révèlent tendre vers l’identique.
Une fois que les les gens à capuches sont revenus à leurs refuges, que les incendies se sont éteints et que la menace s’est estompée, la police a repris pleine possession des villes anglaises. Pendants des journées entières, les seize milles hommes armés envoyés par le gouvernement ont fait entendre leur monologue assourdissant, avec des colonnes de blindés se lançant à sirènes hurlantes sur les routes désertes et des patrouilles dans chaque quartier.
Afin de contribuer à la discussion actuelle sur l'entrelacement entre différents concepts de l'historiographie contemporaine, le travail de certains artistes contemporains et modernes (Courbet), et la théorie de l'art, je cherche d'abord à déterminer quel est le rapport entre le concept d'histoire, la production artistique et la production de la vie. En quoi la tension entre la vie, le temps et l'événement est productive et politique dans La vague de Courbet (1869) ? Si nous ne commençons pas à esquisser quelques traits au sujet de ce rapport, nous ne parviendrons pas à comprendre en quoi cette vague nous fait sens maintenant.
Je voudrais parler de quelque chose que tout le monde connaît, mais qui, semble-t-il, personne n'a l'audace de dire. C'est que le temps pour s’indigner est terminé. Ceux qui s'indignent commencent déjà à nous ennuyer. De plus en plus, ils nous paraissent comme les derniers gardiens d'un système pourri, un système sans dignité, durabilité ou crédibilité. Nous n'avons plus à nous indigner, nous avons à nous révolter.